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18 novembre 2007 7 18 /11 /novembre /2007 22:03
Une belle histoire à l'école, mardi 13 novembre les élèves et les collègues me disent qu'un gros oiseau s'est posé dans le jardin et ne repart plus.


C'est une buse variable ( Buteo buteo ) qui s'est posée dans le jardin. Elle est visiblement blessée à une aile.
Tout le problème est de savoir ca qu'on va en faire. J'appelle le véto qui me conseille de contacter le centre de sauvegarde de la faune sauvage de Rochasson à Meylan.
J'appelle et y laisse un message.


Nous baissons tous les rideaux coté jardin afin de ne pas effrayer le rapace.
Le Rochasson rappelle : Il faut capturer l'oiseau et le porter au véto et ensuite s'il est sauvable, ils viendront le chercher.

Je récupère donc la cage du chien dans la voiture et une vieille couverture pour capturer la buse.
Avec une collègue, nous coinçons l'animal contre un mur et je lui jette la couverture dessus. A ma grande surprise , elle ne se débat pas du tout et se laisse mettre en cage facilement.



A la sortie de l'école, direction le véto. La buse a une blessure sous l'aile qui l'empêche de voler donc le véto va nettoyer la plaie et ensuite Rochasson la prendra en charge.

Aux dernières nouvelles de vendredi, la buse est en convalescence au Rochasson. Elle sera relachée lorsqu'elle sera guérie et capable de voler.

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18 novembre 2007 7 18 /11 /novembre /2007 20:45
Suite de la visite au Der , jeudi 1er novembre .
Il n'y a pas que les Grues au lac loin de la !!


A cette époque, le niveau du lac est bas, il subsiste quelques étendues d'eau.

Les berges de ces étendues permettent de fixer quelques espèces pour notre plus grand bonheur d'observateur :


Sur les berges une nouvelle espèce de canard pour moi : Les canards siffleurs : aile avec une zone blanche, tête rousse avec une barre frontale jaune paille.



Au milieu des zones d'herbe avec les grues on observe les grues cendrées au nourrissage :





Les sarcelles d'hiver sont également présentes :


Le soir est outre le moment du retour des grues cendrées, c'est aussi le moment ou nombre d'oiseaux se rassemblent au bord de l'eau :



Une grande aigrette, un héron cendré, des canards



Courlis et héron.

Et cerise sur le gâteau, en observant les sarcelles, sur une branche, une forme bizarre qui fait tilt dans ma tête .. oui bingo !!! c'est un martin pêcheur.


Les conditions de lumière sont pas très bonnes car l'oiseau est deja dans l'ombre.





Dans la voiture, une visiteuse surprise qui en fait a réussit a se protéger du froid du dehors :


A priori une coccinelle à deux points ou une coccinelle a virgule




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2 novembre 2007 5 02 /11 /novembre /2007 14:57
Jeudi 1er novembre, retour au lac du Der pour revoir un an après les grues cendrées : Article du 5 novembre 2006 : " Quand les grues passent par chez nous !! "

RAPPEL DE LA CARTE D'IDENTITE DES GRUES CENDREES

Ordre : gruiformes.
Famille : gruidés.
Grus grus
Taille : 114 à 127 cm.

Envergure : 200 à 230 cm.
Poids : 4 kg à 7 kg.

Longévité : 17 ans.



LA FERME  AUX GRUES

La ferme a été crée en 1990, au départ l'objectif était de fixer les oiseaux sur des terres mises à disposition pour éviter qu'elles ne fassent des dégats dans les semis surtout lors de la migration de printemps.

Actuellement, elle permet aussi de fixer les observateurs des grues et d'éviter qu'elles soient dérangées.



La ferme est composée de plusieurs parties : le bâtiment et les terres cultivées appartiennent au syndicat mixte du Der. Les prairies de fauche appartiennent au Conservatoire Patrimonial Naturel de champagne. L'observatoire appartient à la LPO.

Les terres cultivées sont louées à un agriculteur qui paie son fermage en grains de maïs ce qui permet de nourrir les grues et de les fidéliser sur le site.


La ferme est ouverte au public. l'accès à l'observatoire est gratuit. Il est possible de louer des abris à la journée pour photographier les grues.
Certains week-end de vacances comme jeudi et les dimanches, les observateurs de la LPO sont présents pour donner des informations sur ces oiseaux.



La ferme n'est pas un lieu d'élevage, la présence des grues n'est pas assurée.
En début de migration postnuptiale (octobre/novembre) les grues trouvent à manger dans les champs près du lac du Der et sont moins attirées par la ferme.
Plus la saison avance, plus la nourriture se fait rare et les agrainages sur la ferme attirent de nombreuses grues.

MIGRATION DE LA GRUE CENDREE EN FRANCE

retour sur la saison 2003/2004 ( doc LPO )

La migration des grues a toujours fasciné les hommes, soit car ils voient les oiseaux voler en V , soit qu'ils les entendent passer de nuit.

En 2004, la population européenne des grues est estimée entre 160 000 à 180 000; L'étude de la migration des grues cendrées se fait grâce à la mise en place du réseau Grues France. Ce réseau regroupe 57 organismes et associations françaises.
Son objectif est d'échanger les infos entre les régions afin de mieux anticiper l'arrivée des grues. Son rôle est également d'informer public et médias sur les grues.


Migration postnuptiale 2003

Les grues pendant tout l'été sont peu nombreuses et ne bougent pratiquement pas que ce soit en Corrèze en Dordogne. Ce sont quelques dizaines d'oiseaux uniquement qui se déplacent.



Dans la nuit du 12 au 13 octobre, un mouvement concerne quelques 1 500 grues. C'est le prémice à des mouvements de plus grande ampleur.

Première vague : 12 octobre au 19 octobre.

Les premiers gros départs d'Allemagne se font dans la soirée du 13 octobre : entre 15h30 et 19h00 ce sont quelques 16 OOO grues qui partent.
Les observations montrent le passage de 1300 individus dans la Meuse. Plus de 18 000 grues occupent le lac de Der. Dans le même temps d'importants passages sont signalés dans le sud-est de la région Centre, en soirée la région Aquitaine est atteinte.
Pour cet épisode, c'est environ 80 000 individus qui se sont déplacés.


Deuxième vague : 23 octobre 2003 au 25 octobre 2003


Entre 10h et 12h de nombreuses grues quittent la région de Rugen en Allemagne.
Les conditions sont très favorables car le beau temps reignant sur la région favorise la présence d'ascendances thermiques. Le vent est au Nord-est ce qui permet aux grues d'économiser de l'énergie.
L'arrivée des grues de fait dans la soirée dans le Meuse et en Champagne-Ardenne. Le soir ce sont quelques 35 000 oiseaux qui fréquentent les vasières du lac du Der. Le lendemain 20 000 oiseaux repartent vers le sud-ouest.
Lors de ces trois jours ce sont 28 000 oiseaux qui ont traversé la pays


Mouvements plus diffus : 26 octobre au 15 novembre 2003

Les comptages lors des journées d'observations montrent un ralentissement de la migration des oiseaux.
Durant cette période seuls 20 000 oiseaux se sont déplacés.

Une dernière journée de migration : 7 décembre 2003

Dès le lever du jour, sur le lac du Der, les 5 000 grues présentes partent en migration. Ce mouvement est vite confirmé car le ciel de la nièvre voit passer 11 000 grues.
En soirée, 5 000 grues arrivent d'Allemagne.

Cette journée marquera la fin des grands mouvements de la migration postnuptiale de 2003. Le 16 décembre 4 500 grues stationnent sur le lac.

Au total, la migration postnuptiale 2003 aura concerné 135 000 grues cendrées.


Hivernage 2003-2004

L'effectif total de l'hivernage pour la saison 2003/2004 est de 34 170 grues. C'est une baisse de 20 000 grues par rapport à l'année précédente.
Les effectifs de 2003/2004 reviennent au niveau de ceux des années 1990. Ceci s'explique par le manque de nourriture.

Au 18 janvier c'est 6 160 grues cendrées qui hivernaient sur l'ensemble de la région Champagne-Ardenne.
C'est un hivernage relativement faible pour la région.
les variations d'effectifs sont directement liés au manque de nourriture et non a une baisse des températures comme une idée reçue le fait croire.
Si les inondations précoces empèchent les labours alors les chaumes de maïs permettent aux oiseaux de se nourrir tout au long de l'automne et en hiver.
L'hivernage très faible de 2003/2004 s'explique en partie par l'arrêt des mesures agro-environnementales.
Ces aides avaient pour but de conserver les chaumes de maïs jusqu'au 15 décembre ou au 15 mars. Les agriculteurs participants recevaient une compensation financière européenne. La disparition de ce type de mesures a favorisé les labours plutôt que les chaumes privant les grues d'une grande part de leurs ressources alimentaires.


Migration prénuptiale 2004

les premiers vols sont signalés le 25 janvier 2004 dans le Loir-et-Cher.
La migration de printemps se déroule toujours de façon plus rapide que la migration d'automne.

Des mouvements diffus : Du 1 février au 11 février 2004

Ce sont quelques 12 000 grues qui ont déserté les sites aquitains durant cette période.

Première importante journée de migration : 15 février 2004

C'est ce jour que démarre vraiment la migration de printemps. Les comptages de cette journée donnent les chiffre de 8 000 grues qui sont passés en France.


Première vague diffuse : 21 février au 1 mars 2004

En Espagne durant cette période les très mauvaises conditions atmosphériques ( froid et neige ) ont fait s'accumuler d'importants effectifs sur le site de Sotonera ( nord Aragon ).
Les oiseaux sont ensuite partis vers la France de façon plus diffuse et on a compté durant cette période le passage de 8 000 grues au minimum.



Deuxième vague plus intense : 2 mars au 14 mars 2004

Durant ces 13 jours, ce sont 130 000 grues qui ont survolé la France

Fin de migration : 15 mars au 14 mai 2004

Au 15 mars, il reste 2 960 grues sur le lac du Der, le nombre des oiseaux en transit diminue sur tous les points de comptages.

Bilan 2003/2004

Pour la saison 2003/2004, le nombre de grues en migration prénuptiale s'est porté à 164 000. Ce chiffre prend en compte l'ensemble des vagues et des petits mouvements complémentaires.



Migrations en Champagne-Ardenne.

Les relevés de passage montrent que cette migration est classique pour la région.
Les premières observations datent de juin : 3 oiseaux puis le pic de stationnement est en octobre ( le 24 ) avec 35 000 oiseaux qui stationnent sur le lac.
Le 2 novembre, les grues tardent à quitter les dortoirs et les observateurs peuvent assister à un lever qui dure une heure.
Jusqu'à mi novembre, la migration se poursuit de manière régulière et le nombre des oiseaux présents diminue de façon régulière également.
L'hivernage est très faible du fait de l'arrêt des compensations aux chaumes de maïs.
Le mois de mars voit la reprise de la migration mais printanière cette fois ci sur le site de Der.
ce sont 20 000 oiseaux qui stationnent sur le lac le 7 mars. La migration se termine rapidement ensuite.



QUESTIONS DIVERSES


Pourquoi les grues volent-elles souvent en V ou en ligne ?

Deux hypothèses :

1 : L'économie d'énergie, l'oiseau qui est devant protège du vent celui qui le suit et ainsi de suite. L'oiseau de tête est régulièrement remplacé par un autre.

2 : Cela permettrait aux oiseaux d'éviter de se toucher en vol. Chaque individu gardant une certaine distance avec son voisin tout en restant proche et donc au contact.


La grue cendrée niche-t-elle en France ?


Quelques cas de reproduction sont notés en France, particulièrement en Lorraine où quelques couples sont nicheurs.
La zone principale de reproduction de la grue cendrée se situe de l'Allemagne à la Sibérie orientale.
Les 5 pays abritant la majorité des couples sont la Russie, la Suède, la Finlande, la Pologne et l'Allemagne.



Toutes les Grues cendrées passent-elles lors de leurs migrations en France ?

Non, il existe deux voies de migration :

La voie ouest européenne qui se localise sur un axe Allemagne / France / Espagne.

La voie centre européenne qui passe par la Pologne, la république tchèque, la Slovaquie, la Hongrie, la Croatie, l'italie du sud jusqu'en Afrique du sud.

Pourquoi certaines espèces telles que les grues migrent-elles ?

Tout d'abord penser que c'est le froid qui fait migrer les oiseaux est une erreur. En fait ce qui déclenche la migration c'est un problème de quantité de nourriture. Lorsque la nourriture n'est pas suffisante pour nourrir les populations d'une espèce, les individus qui la compose sont obligés d'aller chercher ailleurs de quoi manger.


Combien de temps une grue fait-elle escale sur un site de halte en France ?

C'est une durée très variable.
Lors de la migration d'automne, les escales sont plus longues que celles de la migration de printemps.
La durée de stationnement varie de 1 jour à 1 semaine.
Les conditions météo vont influer sur la durée du séjour.






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1 novembre 2007 4 01 /11 /novembre /2007 21:26
En ces moments d'intégration ou non de la Turquie dans la communauté européenne, il était temps de faire le point sur cet oiseau qui n'a pas encore subit les foudres despotiques de Nicolas S. 1er !!

Bon alors, son nom scientifique c'est :  Streptopelia decaocto .
Elle fait partie de la famille des columbidés.


D'une taille de 30 cm environ, elle pèse 200 grammes environ et peut vivre 16 ans.


Elle vit dans les zones urbaines et rurales , les parcs, les jardins, les fermes etc ... Tant qu'il y a des stocks de grains.


La tourterelle turque est originaire de l'Inde, le Sri lanka Myanmar. L'espèce a migré vers l'Europe au siècle dernier !


Cette espèce est granivore essentiellement, au moment des beaux jours, elle ajoute à son régime des fleurs, insectes, bourgeons ....
Ce sont des oiseaux qui se nourrissent au sol.


La tourterelle turque se reproduit de début mars à fin octobre. La femelle dépose deux oeufs, l'incubation dure 14 jours et ils sont couvés par les deux parents.

Pendant la période nuptiale, le màale effectue des vols depuis un toit ou un poteau.
Il s'élève dans les airs et bat bruyamment des ailes avant de redescendre ailes et queue déployées.
Sur le sol, les deux partenaires sautent en l'air jusqu'à un mètre de hauteur en battant des ailes et sautent à nouveau en criant. Elles se poursuivent en vol et posées sur un fil, se donnent des baisers.











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23 octobre 2007 2 23 /10 /octobre /2007 20:52
Bonne nouvelle pour la biodiversité et la protection des milieux marins : Le 28 septembre 2007, le décret 2007-1406 instituait la création du parc marin de la mer d'Iroise.


La mer d'Iroise est à l'extrême pointe du finistère : Penn ar bed : " la pointe de la terre". La zone du parc couvre les iles de Molène, de Sein, de Ouessant



Cette zone est connue pour ses tempêtes, ses courants, ses passages maritimes mythiques tels le Fromveur, la chaussée de sein ..... La cote y est souvent rocheuse avec des criques et des plages parsemées de roches granitiques usées.

à la limite du parc ....

plage de sable et rochers

C'est une zone de patrimoine naturel extrêmement riche, patrimoine qui produit de nombreuses ressources à une communauté de marins : algues, ressources halieutiques etc ...

Ile de sein

Ce parc va être l'occasion de mener de front une protection de la nature marine tout en permettant le développement d'activités économiques à impact doux : pêche raisonnée, tourisme vert etc...

Tas de pois

lever de soleil sur Ouessant

coucher de soleil sur l'Iroise
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22 octobre 2007 1 22 /10 /octobre /2007 20:07
Reprise et misa a jour du blog bientot
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4 septembre 2007 2 04 /09 /septembre /2007 18:57
Delft est une ville parcourue par des canaux sur lesquels voguent quelques radeaux électriques a touristes.





Par contre sur ces canaux ont peut observer quelques oiseaux d'eau tels les foulques qui ont su profiter des oeuvres d'art flottantes :








Certains de ces canaux sont un lieu de rassemblement des canards colverts qui si on observe bien, se rassemblent  devant les fenêtres des cuisines de restaurants attendant quelques nourritures.



Sur un des canal, une famille de cygnes attirent l'attention des gens et du chien.



En fait le chien a soif et veut juste boire dans le canal, le cygne ne l'entend pas  de cette oreille et nous gratifie de belles attitudes d'intimidation.


Ah si, il y a une vache et un mouton au milieu de la ville .... une sculpture au dessus une porte, sculpture qui marque l'ancienne échoppe d'un marchand de viande.




A la périphérie du centre ville, les canaux sont couverts de lentilles d'eau, c'est assez marrant à observer.




C'est également marrant de voir les grèbes se filer un chemin au milieu de ces végétaux.


Parfois ce sont les nénuphars qui recouvrent les canaux.



Ils sont parfois fleuris.








L'extérieur de Delft est aussi parcouru par des canaux mais qui sont bordés par des maisons.




C'est le paradis des foulques, grèbes et canards avec également quelques Tadornes casarca.

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30 août 2007 4 30 /08 /août /2007 18:39
Début Aout nous sommes allés aux Pays Bas. Un voyage sur Rotterdam, Delft, Den Haag et Amsterdam.

Ce que nous avons vu du pays est soit très vert mais genre campagne travaillée et arrangée, le fait d'être sur les polder y est surement pour quelque chose.

Nous avons logé dans une zone agricole de la banlieue de Deltf, zone assez vaste en liaison ... vélo bien sur avec Den Haag.

Sur cette zone se trouve un lac avec de nombreux sentiers piétons et voies cyclables.



Les zones humides sont parcourues de canaux  qui drainent le surplus d'eau. Des peties étangs cotoient ces canaux :

Ces étangs sont le refuge d'oiseaux : canards, oies, bernaches , hérons.

Nous avons pu observer une espece de Bernache qui ne descend pas jusqu'en France : la Bernache du Canada.





Elles passent la soirée et la nuit sur l'étang puis au matin, elles repartent dans les champs pour se nourrir.



On retrouve également des espèces plus communes pour nous car recontrables en France. Les grèbes huppées :



C'est une zone agricole où on retrouve moutons, vaches et poneys











Et même parfois des lapins de garenne !!!




Ces champs sont également parcourus pas des hôtes qui sont tous là pour chasser des taupes ( j'ai pu observer un héron manger une taupe mais pas pu le prendre en photo a ce moment là ).

les buses variables :







Et le summum que j'ai pu observer pendant une bonne demi heure : une sorte de défi entre un héron et une buse variable devant des taupinières. Les deux étant là pour manger quelques taupes.





La zone est parsemée de petites maisons en bois , maisons écolos avec ossature bois et isolation chanvre :



Je ne sais pas si c'est le fait de voir beaucoup de vélos circuler mais on sent dans ce pays un autre rapport à la nature. la proximité de la faune et la flore n'est pas la même qu'en France,ici on sent que chacun respecte , mais de façon naturelle, normale.




Pour finir la petite famille faisan qui se promenait devant nous lorque nous nous promenions avec shrek ( j'en parlerai plus tard de celui là ! )



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24 août 2007 5 24 /08 /août /2007 21:45
Quelques semblables rampantes et gluantes :





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24 août 2007 5 24 /08 /août /2007 21:01
Un aperçu d'un superbe coin de l'Oisans : Le massif de la Meije et du Rateau.



De la droite vers la gauche : Le Grand Pic de la Meije, les arêtes de la Meije, la Meije Orientale, le Pavé, le Pic Gaspard et le col Claire.

Outre son intêret pour l'alpinisme, ce massif est intéressant d'un point de vue géologique.
Il appartient à l'axe cristallin qui va du Mercantour au Mont-Blanc.

On trouve dans ce massif trois types de roches :

sédimentaires avec les formations calcaires du Trias qui ceinturent  le massif : Cerces et Mercantour.

Des roches granitiques qui s'observent à la base de la Meije ( surtout en face Sud jusqu'à la bande de neige.

Des roches métamorphiques qui dans l'exemple précédent forment les sommets de la Meije.



Arêtes de la Meije, grande et magnifique classique de l'alpinisme.




Brèche du glacier carré, Grand pic de la Meije et arêtes





Brèche de la Meije, point de passage classique entre la vallée de la Grave et celle du Vénéon.


Plus à droite on trouve la face nord du Râteau parcourue par quelques difficiles et redoutables  voies d'alpinisme.
 


Sur la gauche de la Meije, on trouve le Pavé et le Pic Gaspard avec les glaciers  du Lautaret qui s'amenuisent d'années en années.



Voili voilà, c'est succinct, court mais c'est surtout pour les photos de ce coin magnifique.

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