14 août 2008
4
14
/08
/août
/2008
20:27
Published by Zorglub
-
dans
Carnet de terrain
9 août 2008
6
09
/08
/août
/2008
19:46
Published by Zorglub
-
dans
Coup de gueule
9 août 2008
6
09
/08
/août
/2008
15:20
L'anémone de mer contrairement à son nom n'est pas une fleur mais un animal.
Elles font partie de l'ordre des actiniaria.

Anémone commune de Kerlouan à marée basse.
A Kerlouan, on trouve l'anémone commune à la base des rochers de la plage.
Elle forme hors de l'eau une sorte de gros bouton gélatineux rouge-brun.
Ses tentacules sont alors repliées en elle, permettant de lutter contre la dessication ( cf article sur l'estran ).
Lorsqu'elle est dans l'eau on peut alors observer ses tentacules.

Anémone commune à Kerlouan dans une flaque à marée basse.
Toutes les anémones sont des animaux solitaires qui vivent fixés au substrat par un disque pédieux.
Ce sont des organismes simples, sortes de sacs cylindriques dont la poche sert à la fois d'estomac et de chambre pour les enfants .... Elles sont souvent hermaphrodites et peuvent se reproduire par
bourgeonnement.

On remarquera à droite le bébé anémone qui se développe
Les tentacules des anémones sont urticants et en nombre multiple de 6 ( car l'anémone appartient à la classe des hexacorallaires ).

C'est un animal qui ne se déplace pas, les tentacules sont couverts de cellules urticantes qui sont autant de minuscules harpons à ressort se détendant brusquement pour injecter du venin sour
l'épiderme de la proie.
D'ou la douleur cuisante qu'on ressent si on tripote une anémone et qui lui a valu le nom d'ortie de mer.

Ce n'est donc pas un animal filtreur comme je le pensais et bien un cnidaire
!!
Published by Zorglub
-
dans
milieu marin
8 août 2008
5
08
/08
/août
/2008
08:54
Communiqué de presse 06/08/2008
Table ronde chasse :
Effet d’annonce ou réalité ?
Si on en croit le Ministère de l’écologie (MEEDDAT) la table ronde chasse serait un succès historique. Une semaine de chasse supplémentaire a été échangée contre un moratoire de la chasse
de trois espèces menacées et la promesse d’un autre moratoire pour une espèce au bord de l’extinction : le grand tétras.
Que devraient accepter les associations de protection de la nature pour la protection (temporaire ou plus pérenne) de toutes les autres espèces en mauvais état de conservation, voir gravement
menacée et pourtant chassées ? Que devraient-elles concéder contre tous les autres abus de la chasse en France ?
L’ASPAS rappelle, qu’au mépris des règles élémentaires de biologie et du droit international, les chasseurs français restent les champions d’Europe avec :
- le plus grand nombre d’espèces chassées
- le plus grand nombre de chasseurs
- le plus grand nombre de jours de chasse : 7 sur 7 en période d’ouverture
- la plus longue période de chasse
- la plus longue liste de modes de chasse…
L’ASPAS se félicite que les pouvoirs publics cherchent à instaurer un dialogue entre chasseurs et protecteurs. Mais la méthode retenue qui ne reflète pas le pluralisme des associations de
protection de la Nature , n’est pas satisfaisante. Pas satisfaisante non plus si chaque « avancée » vers une normalisation doit être compensée par de nouveaux privilèges accordés aux
chasseurs.
L’ASPAS est inquiète face aux réactions anticipées des chasseurs : appels à manifester dans quelques haut lieux de la chasse. Appel de l’Association Nationale des Chasseurs de Gibier d’Eau
(pourtant signataire de l’accord) à ses adhérents leur enjoignant de profiter des quelques jours avant publication des arrêtés au Journal Officiel, pour faire leurs derniers cartons dans les
Courlis cendrés, Barges à Queue noire et Eiders à Duvet, avant que le moratoire ne soit officialisé. L’ASPAS rappelle qu’en trente années de conflits et de tentative de négociation avec les
associations de protection de la nature, les chasseurs n’ont jamais respecté leurs engagements.
On nous annonce qu’en septembre, la table ronde chasse sera de nouveau invitée à se réunir. Nous souhaitons qu’enfin les sujets de fond puissent être abordés, sans avoir à être « marchandés »
contre de nouvelles extensions des périodes de chasse.
L’ASPAS souhaite en priorité :
- le dimanche sans chasse
- l’arrêt de la chasse des espèces en mauvais état de conservation
- l’abolition des modes de chasse non sélectifs
- la protection intégrale et effective des oiseaux migrateurs de retour vers leur site de reproduction
- l’abolition de la période complémentaire de chasse au blaireau
- la fin des tolérances pour les chasseurs qui ne respectent pas les dates de chasse
L’ASPAS veillera dès les jours à venir à la bonne application des engagements de toutes les parties signataires de cet accord, et continuera, en toute indépendance, son rôle de veille en matière
de protection des espèces et de strict respect des lois et règlements dans le domaine de l’environnement.
Contact Presse : Pierre Athanaze, Président de l’ASPAS : 06 08 18 54 55
Association pour la Protection des Animaux Sauvages - BP 505 26401 CREST Cedex – Tel 04 75 25 10 00 – Fax 04
75 76 77 58
www.aspas-nature.org
Published by Zorglub
-
dans
Infos diverses
6 août 2008
3
06
/08
/août
/2008
18:27
L'estran étant la zone littorale limitée par les niveaux des plus hautes mers et des basses mers, la durée d'émersion durant
le cycle des marées influence la distribution des êtres vivants, animaux et végétaux, sur différents niveaux.
Ceci crée comme en montagne un étagement de la faune et de la flore.

Etagement dans la zone de l'estran ( document Ifremer )
Etage adlittoral ou zone des embruns :
Cet espace n'est jamais recouvert par les marées mais les êtres vivants y sont sous l'influence des embruns.
Les êtres vivants ici ne supportent pas l'immersion mais apprécient une forte salinité pour se développer.

Rocher recouvert de différents lichens dans la zone des
embruns.
Etage supralittoral :
Les êtres vivants ont besoin d'une émersion prolongée et ne supportent qu'une immersion très courte pendant les marées de vives eaux.
On trouve également des lichens en milieu rocheux et des puces de mer en milieu sableux

Talitres ou puces de mer sur la laisse de mer
Etage médiolittoral :
Les êtres vivants sont ici soumis à des cycles émersions / immersions.
La faune et le flore doivent supporter temporairement un assèchement.
C'est la zone privilégiée de la pêche à pied.

Flaque temporaire dans l'étage médiolittoral.
Etage infralittoral :
ici l'immersion est continue avec à la frange supérieure des émersions de courte durée.
Dans l'estran lorsque la mer se retire, les êtres vivants qui y sont subissent un certain nombres de chocs :
Un choc hydrique : pour lutter contre la dessication
Un choc thermique : une flaque d'eau isolée peut voir sa température monter très fortement en été parfois à 40° et lorque la mer revient avoir sa température baisser rapidement.
De même en hiver, elle peut tres vite se refroidir au contact de l'air froid et avoir une température rapidement voisine de 0°.

Flaque avec des patelles.
Choc osmotique : dans chaque flaque les conditions de salinité peuvent varier entre les averses, l'évaporation etc ...
Choc mécanique : Les êtres vivants doivent contre la force des vagues de la mer qui remonte.

Quelles adaptations les êtres vivants ont-ils mis en place ?
Pour survivre dans ce milieu extrème, les animaux developpent des adaptations en fonction du substrat sur lequel ils vivent.
Sur les estrans sableux :
S'enfouir dans le sable.
Comme certains mollusques bivalves : praires, clams, coques .... creusent un trou dans le sable pour profiter de son humidité.

Sur les estrans rocheux :
Se proteger dans une coquille :
Certains animaux quand la mer se retire se réfugient dans leur coquille : les bigorneaux, les patelles ou les balanes qui à marée basse vivent dans uen coquille hermétiquement fermée en ayant
emprisonné une réserve d'eau.

Patelle et troque à marée basse.
Rechercher les endroits humides :
Souvent sous les algues comme le font les étoiles de mer, les crabes, les oursins ...

Se recouvrir de mucus.
La blennie ou "baveuse" est capable de sécréter du mucus pour garer son corps humide.
Les anémones de mer luttent contre le dessèchement grâce à leur forte teneur en mucus qui retient l'eau.
Certaines espèces d'anémones comme les actinies peuvent rétracter leurs tentacules pour limiter la perte d'eau.
Se fixer sur les rochers :
Certains animaux, poour lutter contre les vagues et les courants peuvent se fixer sur les rochers.
Les moules par exemple, sécrètent une ensemble de filaments ( le byssus ) qui lui permet de se fixer.

Colonie de moules fixée sur des rochers face à la mer
Respirer autrement :
La plupart des animaux aquatiques ont besoin de branchies pour respirer dans l'eau. Certains ont des systèmes complémentaires pour survivre hors de
l'eau :
respiration cutanée : La gonelle, la
motelle
poumon primitif : Le petit
bigorneau
avaler de l'air : Le
mordocet
Voilà un tour d'horizon rapide, donc très incomplet de ce milieu particulier qu'est l'estran.
Published by Zorglub
-
dans
milieu marin
2 août 2008
6
02
/08
/août
/2008
10:55
MARCHER AU FOND DE LA MER !!
Non, ce n'est pas le nouveau Jules Verne mais c'est possible deux fois par jour.

Marée basse sur Lilia
C'est sur cette zone que vont être mis les prochains coups de projecteurs.
Tout cela est possible à cause d'un phénomène complexe : La marée.

Marée basse à Neiz vran
La marée est une phénomène qui résulte de l'attraction terre-lune, terre -soleil et des forces centrifuges induites par les rotations des astres les uns par rapport aux autres.
Ce phénomène s'observe deux fois par jour avec une alternance entre pleine mer et basse mer ( marée haute et marée basse ).
Pour plus de précisions sur ce phénomène extrêmement complexe, voir ce cours de l'Ifremer sur les océans :
http://www.ifremer.fr/lpo/cours/index.html

Marée basse en allant à l'Ile Wrac'h
L'estran ( an aod bev ) est la frange littorale qui se couvre et se découvre au rythme des marées.
Les marées ont des coefficients qui traduisent les différences quotidiennes de marnage ( c'est à dire la différence quotidienne entre haute et basse mer ).
Ceci va induire dans cette zone des conditions de vie particulières qui impliquent pour les êtres y vivant des adaptations particulières.

Marée basse à l'Ile wrac'h
Published by Zorglub
-
dans
milieu marin
31 juillet 2008
4
31
/07
/juillet
/2008
15:59
Published by Zorglub
-
dans
mammifères
31 juillet 2008
4
31
/07
/juillet
/2008
11:41
Kerlouan c'est dans le finistère nord, sur la côte des légendes. Le milieu est particulièrement interessant car on y trouve
rassemblés en un même lieu nombre de milieux différents : plage de sable, chaos de rochers granitiques, dunes blanches, dunes grises ....

Pointe de Neiz Vran

Plage de Rudoloc
Les articles suivants reviendront sur un éclairage particulier de certains de ces différents milieux et de leurs habitants.
Place à quelques photos que j'aime bien et une dédicace spéciale en fin d'article !

Coup de vent le 5 juillet au soir.

Le lamantin

paradisiaque on vous dit !

Phare de l'Ile Vierge, plus haut phare d'Europe

To be goudenne or not to be goudene that's the question dear
!


La cote des légendes .......
Assurancetourix peut dormir sur ses deux oreilles, les nouveaux bardes sont là et bien là !!

Ca fait super plaisir de voir qu'il existe encore des groupes qui perpetuent l'esprit "zonemondiale" des années 80 : juste quand la jeunesse emmerdait le front national et que le petit napoléon de
la rue de l'Empereur allait gouter aux joies de devenir un enc..... :-D
"Nous vous rappelons que vous êtes seul responsable des propos publiés sur votre blog." Pas de problème je souligne persiste et signe ... et j'ajoute qu'il y a pris goût et qu'il
donne toute sa puissance en ce moment ... demandez à ses enfants :-(
Un site et des concerts à ne pas rater :
http://www.ramoneursdemenhirs.fr/
Published by Zorglub
-
dans
milieu marin
25 juin 2008
3
25
/06
/juin
/2008
20:07
Suite à la balade de dimanche au chalet du Milieu où sur les poutres exposées au soleil couchant se trouvaient une bonne dizaine de " petites tortues", il m'a semblé
intéressant de zoomer sur ces insectes.

La Petite Tortue Aglais urticae
De nombreux cris s'elèvent pour remarquer que moins de papillons sont visibles dans les champs, les prés ou les jardins. La faute aux engrais, remembrements, agriculture intensive, jardins avec des
déserts herbeux ..... Il suffit pourtant de laisser un petit coin de nature sauvage quelque part pour les voirs revenir.
Les papillons font partie de l'ordre des Lépidoptères.
Il sont apparus sur terre il y a 200 à 150 millions d'années, ce sont les plus jeunes des insectes.
Ils descendent des Mécoptères, les mouches scorpions qui volaient dans les forêts de fougères préhistoriques.
L'ordre des Lépidoptères c'est 127 familles pour actuellement 165 000 espèces soit 10 % des espèces connues dans le monde. C'est le second groupe le plus nombreux après les coléoptères ( mammifères
: 4 500 espèces ).
Le groupe des Lépidoptères est divisé en 2 :
Les Rhopalocères ou papillons de jour qui regroupent 20 000 espèces dans le monde dont 415 en Europe et environ 257 en France.

Indéterminé
Les Hétérocères ou papillons de nuit qui représentent 130 000 espèces sur terre.

Indéterminé
Comment les reconnaitre ?
Les Hétérocères ou antennes différentes en grec, ont des antennes de formes différentes : en peigne ( pectinés ), en plume ( plumeuse ), en fil ( filiforme ).
Les papillons de nuit sont adaptés à la vie nocturne : Ils comptent sur leur odorat et pour les papillons l'odorat c'est les antennes.

Indéterminé
Au repos, leurs ailes sont souvent rabattues en toit sur leur dos ou à l'horizontale.

Indéterminé
Les Rhopalocères ou antennes en massues en grec. Comme ils volent le jour, ils utilisent leurs yeux pour se diriger, repérer les fleurs ou les femelles ...

Petite tortue.
Au repos, ils ont les ailes jointes vers le haut et à la verticale.
De la chenille au papillon ......
Les lépidoptères font partie des insectes à métamorphoses complète ( Les holométaboles ) : leur vie passe par 4 états : oeuf, la larve ( chenille ), la nymphe ( la chrysalide ), et l'imago ( le
papillon adulte )

Indéterminée
Indéterminée - dans les orties

Indéterminée
Observer les papillons
La période propice aux observations va de mars aux premiers gros froids ( novembre ).
Les papillons apparaissent en fonction des naissances, des reveils hivernaux, des chemins de migrations.

Le grand nacré - mésoacidalia aglaja
Certaines observations sont interessantes :
-
ballet d'un papillon attaquant un bourdon
Attaque de petite tortue sur une congénère
-
danse nuptiale
-
la femelle qui refuse le mâle
-
union de deux papillons dos à dos

Reproduction de deux gazés - Aporia crataegi
-
papillon en vol rapide et direct : il migre !
-
ponte au revers d'une feuille
-
camouflage de la chenille arpenteuse etc .....

Le demi deuil - Melanargia galatea
Aider les papillons
Actuellement les plus communs des papillons disparaissent du fait des transformations paysagères : abatages des haies, systématisation du béton vert dans les villes.

Le Myrtil - Maniola jurtina
Pour acceuillir les papillons sur son terrain, il faut 4 ingrédients :
-
des plantes nourricières pour les chenilles
-
des plantes nectarifères pour les adultes
-
des abris pour se proteger du vent et de la pluie, la nuit, ou l'hiver
-
des zones pour se réchauffer au soleil, se rencontrer, faire le guet.

L'Aurore - Anthocharis cardamines

Moro sphyx - Macroglossum stellatarum

Paon du jour - Inachis io

Le vulcain - Vanessa atlanta

La Zygène - Zyganea sp

La petite tortue - Aglais urticae
Pour mieux connaitre les papillons, les excellents cahiers techniques de la gazette des terriers ont sorti un numéro sur les papillons.

Participez à l'opération de Noé conservation
C'est ici : http://www.noeconservation.org
Vous apprendrez à les reconnaitre, à aménager votre jardin pour les accueillir et les proteger et participer à une grande enquete etc ..... !!!
Published by Zorglub
-
dans
insectes
22 juin 2008
7
22
/06
/juin
/2008
15:12
A 15 minutes de la maison, l'ancienne zone de la station de Val Pelouse offre un accès rapide à la zone des alpages du nord du massif de Belledonne.

La route n'est plus entretenue que par les randonneurs, les bucherons .... Elle est fermée en hiver et l'accès se fait à mesure de la fonte des neiges.
Cette rando est assez courte et se fait en une heure et demie. C'est vraiment la rando pour se vider la tete en soirée et aller admirer le coucher du soleil voire le lever du soleil!
On traverse les anciennes pistes de ski pour rejoindre un sentier qui chemine tranquillement à flanc de versant.


Le chemin donne accès à une croupe qui permet d'avoir un panorama sur la vallée, les Bauges.
Le chemin continue en contournant la croupe et ouvre aux randonnées vers le col de La Perrière et du col de la Perche etc .....

De gauche à droite : Crete de la montagne de Presles, pointe du Chapotet, col de la perche, Pointe de Rognier ( 2341 m
) et à l'aplomb du col au bout de la route le refuge des Plattières
Un hommage au compagnon des bons et mauvais moments depuis plus d'un an maintenant.

Le retour est l'occasion d'aller visiter le chalet du Milieu qui tient son nom du fait qu'il sert d'étape lors de l'emmontagnage et du retour vers la vallée à l'automne.

Ce chalet est visible depuis la maison et sert souvent de cible de démonstration des capacités de la lunette ornitho !!!!


L'aménagement est assez spartiate, une source apporte de l'eau à un abreuvoir, pas de sanitaires , l'interieur réduit a sa plus simple expression, le chalet de passage par
excellence !


Un chemin à droite du chalet permet de rejoindre l'épaule qui permet de rejoindre le parking. Vu l'heure c'est coucher de soleil !!!!

Les grands moulins ( 2495 m )
Ca c'est les Grands Moulins c'est dans le dos, sur le coté le cirque des Férices

De gauche à droite : Le grand Miceau, Le Pic du Frene, Le grand Charnier.
Un seul petit probleme qui a plus embeté Shrek, c'est le nombre de mouches qui tournent .... et ca Shrek il aime pas mais pas du tout !!!


Il saute apres les mouches pour les manger , mais bon pas très efficace !!! Mais quand les mouches sont enfin couchées , c'est le vrai coucher de soleil !!!
Sur la gauche :

Coucher de soleil sur la Dent de Crolles
Au milieu :

coucher de soleil sur le Granier
A droite :

Coucher de soleil sur le masiif des Bauges.
Voila c'est pas loin, reposant magnifique ... dans un prochain article un zoom sur les plantes et quelques animaux rencontrés ...
Published by Zorglub
-
dans
Rando